Inscriptions possibles en tout temps (prix au pro rata des livraisons) !
1ère livraison 2025 : 22 janvier
Le panier Locali Vergers est né de la volonté de proposer une offre tangible et concrète dans ce contexte où l’on entend (et sait) toujours plus, qu‘il faut changer notre alimentation.
UNE SEULE PLANÈTE
Notre planète a des limites au-delà desquelles elle ne peut se régénérer. On parle du « jour de dépassement », qui est le jour où l’ensemble des ressources que la planète peut régénérer en un an est dépassé. Pour continuer à vivre en Suisse comme en 2023, il faudrait 2.8 planètes (source).
D’après le plan climat cantonal 2030, plus d’un tiers de l’empreinte carbone est liée à l’alimentation. C’est plus que la mobilité ou l’habitation ! Cet impact est principalement lié aux méthodes de production, au gaspillage alimentaire et également à la mise en avant de certains aliments plutôt que d’autres.
Le panier Locali Vergers est né de la volonté de s’engager pour une agriculture paysanne et contractuelle.
L’AGRICULTURE PAYSANNE & CONTRACTUELLE
L’agriculture paysanne défend une agriculture diversifiée, prenant en compte les ressources d’où elle opère, prenant soin de la terre qu’elle travaille et opérant en cycles vertueux où rien ne se perd (les résidus d’une opération devenant les ressources d’une autre).
Aujourd’hui, le prix des produits agricoles n’a plus que très peu à voir avec le coût réel de production (voire par exemple l’étude de la FRC sortie en juin 2022 sur les marges). Une agriculture contractuelle permet aux mangeurs et aux mangeuses d’être solidaires des producteur·ices et de s’engager pour une production alimentaire qui leur convient. Ils et elles s’engagent contractuellement – c’est-à-dire sur la durée d’un plan de production, soit une année entière.
Les logiques de chaînes alimentaires longues poussent les fermes à la spécialisation et à l’expansion. En Suisse, trois fermes disparaissent en moyenne par semaine et la taille des fermes ne cesse de croître depuis plus de 50 ans (source). L’agriculture paysanne s’inscrit dans une logique de chaîne courte, privilégiant le lien entre mangeur·euses, producteur·ices et artisan·es-transformateur.